Le concept du Livol était intéressant : environ 30 litres par heure dans les eaux chaudes pour une consommation électrique ne dépassant pas 9 AH; le cas par exemple d'un bateau au mouillage dans un lagon tropical qui ne souhaite pas démarrer son moteur ou groupe électrogène, avec seulement de (bons) panneaux solaires.
Re votre question c'est la société SLCE à Lorient (représentant Aquabase) qui a repris le SAV Livol en 2005 (
l.magnoler@slce.net)
Le secret pour éviter les avaries avec son dessalinisateur c'est tout d'abord de l'utiliser
régulièrement,
et aussi d'éviter les zones avec de l'eau polluée pour ne pas endommager la membrane, et de bien effectuer les rinçages plus biocides. En cas d'arrêt prolongé important, veiller à ce que la membrane conserve un min. d'humidité.
Pour qui n'est pas prêt à passer du temps sur son dessal, mieux vaut alors se confectionner un bon récupérateur d'eau de pluie avec taud, passe-coque et tuyau. Valable sous les tropiques où les grains donnent une source abondante d'eau douce.
Sinon comme mes collègues ci-dessus j'aurais maintenant tendance à préférer un dessal le plus simple possible techniquement, avec une plus grande capacité de production e.g. 100 litres/heure, car il est alors possible de refaire le plein de ses réservoirs
rapidement lorsque l'on navigue au moteur dans la pétole.