Bonjour,
voilà déjà quelques années que je suis propriétaire d'un 435 que j'adore mais voilà, je ne le trouve pas exempt de défauts... Le principal et le plus pénible à mon gout vient du safran. En effet, j'ai un pilote hydrolique, Vérin L&S, tête et calculateur Simrad et voilà, quand les conditions commencent à être un peu musclées, voiles bien équilibrées, surface de voile en relation avec le temps qu'il fait, la moindre vague un peu forte qui peut secouer le bateau un peu plus fort qu'à l'accoutumée (et çà arrive souvent par 35 et plus de vent), le pilote décroche litéralement et le bateau part forcément au lof vu que la barre n'est plus commandée.
Il me semble lorsque je barre le bateau moi même par ces conditions, que la barre devient finalemement très dure et donc que le pilote ne peut pas non plus faire des prouesses à ce point... Alors, pendant les longues traversées, les nuits sont justement longues, obligées de rester dehors quel que soit le temps pour reprendre la barre quand les conditions deviennent trop pour le pilote
À première vue, je penserais que la compensation (inexistante de par le concept alubat) du safran y soit forcément pour quelque chose!... J'ai un ami avec un autre bateau DI lui aussi, dont je tairai la marque, qui dans les même conditions que moi ne sors dehors que pour des petits ajustements de voile et reste bien au chaud et en sécurité...
Vous avez une idée? Un retour d'expérience? Une astuce? Une solution?
J'envisageais tout simplement de redéssiner la tole inférieure pour lui ajouter une compensation entre 12 et 17% de la surface totale quite à perdre sur le tirant d'eau safran relevé.
Salutations