par IGLOO » 02 Déc 2007, 20:04
Salut. Je découvre le site et ce forum et je voudrais ajouter mon grain de sel marin.
Tout d'abord, répondre à ceux pour qui un DI pourrait ne pas convenir à certaines navigations un peu "spéciales".
Jimmy a tout dit lorsqu'il nous affirme qu'il faut avoir de la chance en navigation comme dans la vie en général. Partant de ce principe, il faut se poser la question de savoir si on veut tenter sa chance dans ces zones.
Si la réponse est oui, alors un bateau en métal est sans aucun doute le meilleur choix. Alu ou acier, le débat est entendu maintenant. Quillard ou DI? Il est très facile de savoir ce que peut faire un DI que ne peut pas faire un quillard! Pour les OVNI à dérive "non-pesante", jouer avec avec le plan anti-rérive à la mer comme près de la côte. Je ne m'étends pas, cela a été dit.
Qu'est-ce que ne peut faire un DI que fait un quillard, vraiment?
Voila le deuxième aspect du problème qui interroge beaucoup.
- Le gros temps. La théorie, les courbes de stabilité, etc ... sont affaire de constructeurs et d'experts qui ont à répondre à des normes définies par la loi Le respect des ces règles font que pour la loi il n'y a plus différences entre les bateaux par exemple en catégorie A: quillards ou pas tous dans le même sac. A c'est A.
Nous, les navigants, nous devons nous plcer dans une vue dynamique et seulement dynamique du problème du gros temps. 90° de gite et on change de monde. Fini Eole bonjour Neptune. C'est à dire que la compétence d'Eole s'arrête à, mettons, 90° de gite. Il doit passer la "main" à Neptune mais il est son complice en ce qu'il fait la mer. Seule la mer peut vous mettre en danger de chavirer et autre culbutage. Et là on retrouve la chance, le skipper et le bateau, dans l'ordre qu'il vous plaira. Parce que un AVS de 124° ou 145° n'y changerons rien et remonter du même coté ou faire le tour complet tient du caprice! Le temps mis à revenir reste à mon avis un "détail" de l'histoire. Que le bateau soit préparé et pêt à ce genre d'exercice, reste essentiel et aide considérablement sa "chance".
-Le près. Plus on est léger, plus on a la meilleure toile, surface et forme, meilleur est le barreur au mieux c'est. Sans parler de la concentration nécessaire à l'efficience. No comment! Heureusement, on sait comment éviter au maximum cet exercice cruel même s'il y a des fois ou on n'a pas le choix. Toujours comparer ce qui est comparable.
C'était, j'en ai bien conscience, un gros grain de sel. Désolé.